10 août 2009
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"Il y a eu les quatre appuis; non en fait, il y en a trois; sa tête n'a pas touché le sol, non sa tête a effleuré le sol..." C'est à partir de ces éléments que les arbitres de la lutte décident s'il y a eu chute ou pas. Ce n'est pas sérieux. Normalement quand quelqu'un tombe, cela doit être net et sans bavures. A quoi bon la présence de trois arbitres, si c'est pour aboutir à un verdict contestable.
Le Comité National de Gestion de la Lutte (CNG), s'il est crédible, devrait revoir sa copie dans ce domaine. Yékini vs Gris Bordeaux, quelques balancements de mains, un mouvement brusque et furtif et Gris est jugé vaincu. C'est une arnaque pour les spectateurs : payer son billet après une longue attente sous le soleil et ne bénéficier que d'une dizaine de secondes de lutte.
Les promoteurs espèrent internationaliser ce "sport de chez nous" en attirant des investisseurs européens (Français, Italiens ou Espagnols...) Pour ce faire, il faudra qu'ils pèsent de tout leur poids sur le CNG pour l'amener à améliorer les régles de l'arbitrage qui sont, à la limite, ridicules. Il y a un réel engouement pour la lutte, grâce aux chaînes de télévision, notamment 2S TV et la RTS 1. Mais à force de diffuser des combats aux résultats insipides, les spectateurs risquent de bouder les gradins des stades.
Le Comité National de Gestion de la Lutte (CNG), s'il est crédible, devrait revoir sa copie dans ce domaine. Yékini vs Gris Bordeaux, quelques balancements de mains, un mouvement brusque et furtif et Gris est jugé vaincu. C'est une arnaque pour les spectateurs : payer son billet après une longue attente sous le soleil et ne bénéficier que d'une dizaine de secondes de lutte.
Les promoteurs espèrent internationaliser ce "sport de chez nous" en attirant des investisseurs européens (Français, Italiens ou Espagnols...) Pour ce faire, il faudra qu'ils pèsent de tout leur poids sur le CNG pour l'amener à améliorer les régles de l'arbitrage qui sont, à la limite, ridicules. Il y a un réel engouement pour la lutte, grâce aux chaînes de télévision, notamment 2S TV et la RTS 1. Mais à force de diffuser des combats aux résultats insipides, les spectateurs risquent de bouder les gradins des stades.